Notre histoire
En début d’adolescence, j’ai développé une passion pour les chevaux et l’équitation. Mon rêve était de devenir vétérinaire et éleveuse de chevaux sur la terre de mes grands-parents. Finalement, l’élevage de chevaux étant couteuse au départ et difficile, j’ai donc abandonné ce projet ainsi que celui d’être vétérinaire pour finalement m’en aller dans le domaine de la comptabilité. Les chevaux sont dans ma vie depuis plus de 20 ans.
Il y plusieurs années pour la St-Valentin, mon conjoint m’a offert Anita, une jolie petite chèvre miniature noire. A partir de ce jour, ma passion pour la chèvre miniature est née. Je suis tombée en amour avec cet animal et j’ai donc pris toutes les informations nécessaires pour acquérir d’autres chèvres et modifier mes installations pour devenir éleveuse de chèvre miniature.
Au fil des ans, les gens me demandaient souvent pour avoir des chèvres qui pourrait donner une petite production de lait mais de petite taille... Je me suis donc procuré des chèvres miniatures de race nigérienne provenant d’élevage ontarien. Cette race est la seule dans la catégorie laitière de grosseur miniature. C’est donc principalement cette race que je développe pour son coté laitier, sa génétique et aussi sa palette de couleur.
J’ai trait quelques-unes de mes chèvres pour avoir du lait en réserve pour d’éventuel bébé orphelin qui en aurait besoin et effectivement cette race est capable de donner une belle petite production. Regardant les réserve de lait, ma fille et moi qui avons tous deux un côté artistique, avons eu l’idée de se faire un savon et c’est ainsi que la savonnerie est venu au monde.... Nous avons réuni deux femmes une mère et une fille ainsi que deux passions ensembles, les animaux et l’art.... Alors depuis, j’ai augmenté ma production de lait pour faire encore plus de savon, lotion ou crème pour le corps à base du lait de mes propres chèvres bien sûr et nous produisons aussi des bombes effervescentes, des shampoings solides et etc...
Voici Anita, la première chèvre de mon élevage
et Nous voici, ma fille et moi